Imaginez la journée typique d’un policier. Qu’est-ce qui vous vient à l’esprit?
Patrouiller dans les rues, répondre aux urgences, enquêter sur des crimes – la définition même de « protéger et servir », n’est-ce pas?
Maintenant, imaginez ce même agent passer plus de la moitié de son quart derrière un bureau, à se battre avec la paperasse au lieu de combattre le crime.
C’est la réalité crue pour de nombreux organismes d’application de la loi aujourd’hui, où le fardeau du rapport manuel détourne les agents de leurs fonctions principales et crée un effet d’entraînement de coûts cachés.
Quand les policiers imaginent leur carrière dans les forces de l’ordre, ils s’imaginent probablement défendre la justice et protéger leurs communautés — et non se noyer sous la paperasse.
Pourtant, la réalité est que de nombreux agents passent une grande partie de leur quart à compléter des rapports manuels fastidieux.
Bien que les statistiques varient, la plupart estiment que le temps passé sur la paperasse soit de 40% à 50% du temps d’un policier.
Cela peut mener à un sentiment de désillusion et de frustration, car les policiers sentent qu’ils ne peuvent pas consacrer leur temps aux tâches qui les passionnent.
Cela affecte aussi le public, qui peut connaître de longs temps d’attente et avoir moins de lien avec les agents desservant leur secteur.
Lorsque la satisfaction au travail diminue, la rétention des employés diminue aussi.
Dans les forces de l’ordre, où le recrutement et la formation sont déjà gourmands en ressources, un taux élevé de roulement mette encore plus à rude épreuve les départements.
Cela entraîne non seulement une augmentation des coûts, mais crée aussi un vide d’expérience et d’expertise, pouvant avoir un impact sur la sécurité publique.
Avec les agents occupés par des tâches administratives, il y a moins de troupes sur le terrain pour répondre aux appels et patrouiller dans les rues.
Cela peut entraîner des délais de réaction, un risque accru tant pour les agents que pour le public, et un fardeau plus important pour une force déjà très limitée.
Comme vous pouvez le voir, les coûts cachés du rapport manuel vont bien au-delà de la consommation évidente de temps. Cela a un impact sur le moral des agents, les taux de rétention et, ultimement, la sécurité et la sûreté des communautés qu’ils desservent.
Nous avons établi que le rapport manuel a un coût élevé.
Mais que se passerait-il s’il y avait un moyen de simplifier ce processus, de réduire le fardeau pour les agents et même d’améliorer la qualité des rapports?
Voici CLIPr, une solution innovante propulsée par l’IA conçue spécifiquement pour les agences d’application de la loi.
CLIPr utilise des technologies de pointe pour transcrire et analyser les séquences vidéo, générant automatiquement des brouillons détaillés de rapports de police.
Cela permet non seulement aux agents d’économiser un temps précieux, mais assure aussi une plus grande précision et cohérence dans les rapports. Avec CLIPr, les agents peuvent se concentrer sur ce qu’ils font de mieux — protéger leurs communautés — tandis que la technologie s’occupe de la tâche fastidieuse de la rédaction des rapports.
Mais CLIPr offre plus que de l’efficacité.
En démontrant un engagement à investir dans des outils qui soutiennent les agents, les départements peuvent rehausser le moral et devenir plus attrayants pour les recrues potentielles.
Et dans un monde où la concurrence sur le marché du travail est si forte et où le recrutement est plus difficile que jamais, adopter des outils comme CLIPr pourrait être la distinction qui aidera votre département à attirer et à retenir les meilleurs talents.
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